Dieu veut établir dans le monde la dévotion à mon Cœur Immaculé. Notre-Dame, le 13 juillet 1917

Samedi 6 février 2021 : 1er samedi du mois

Méditation
proposée :

 3e mystère douloureux : Le couronnement d'épines
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les blasphèmes contre la maternité de la Très Sainte Vierge

Lettre de liaison n° 116 (4 février 2021)Imprimer

Chers amis,

Aussi incroyable que cela puisse paraître, pour le Saint-Siège, il n’y a pas eu réellement d’apparitions à Fatima : il n’y eut que des visions intérieures et toutes les déclarations de sœur Lucie, notamment le secret, ne sont que des inventions de sa part. Dès lors, comment croire aux apparitions de Fatima ? Peut-on ne pas suivre le Vatican sur ce point ? Pour un vrai catholique, ce n’est possible que s’il est sûr d’être dans la vérité. C’est pourquoi, il est très important d’être convaincu qu’il y a bien eu des apparitions à Fatima, même si le Vatican affirme le contraire. Pour cela, avant de poursuivre l’analyse du troisième secret, il convient de rappeler toutes les marques de l’origine divine de ces apparitions pour être convaincu non seulement qu’elles sont totalement vraies, mais aussi que le message confié par la Sainte Vierge est d’une importance exceptionnelle.

Pour authentifier une apparition, Dieu utilise en général deux moyens : les miracles et les prophéties. À Fatima, ces deux types de preuves sont présentes. L’essentiel ayant déjà été dit dans de précédentes lettres de liaison, nous n’en ferons qu’une synthèse pour montrer la profusion des preuves de la véracité des apparitions en revoyant aux lettres de liaison précédentes pour les détails.
Commençons par les miracles.

Les miracles

On peut distinguer plusieurs types de miracles : ceux annoncés par la Sainte Vierge, ceux qui se sont produits pendant les apparitions et ceux qui se sont produits par la suite.

Les miracles annoncés par la Sainte Vierge

Deux miracles ont été annoncés par Notre-Dame : celui du soleil le 13 octobre 1917 (voir lettre de liaison n° 12) et celui de l’embrasement du ciel dans la nuit du 25 au 26 janvier 1938 (voir lettre de liaison n° 20).

Les phénomènes miraculeux pendant les apparitions

De nombreux phénomènes inexplicables ont eu lieu au cours des apparitions, phénomènes souvent appelés miraculeux, car jusqu’à présent aucune explication naturelle n’a été trouvée.
Il y a eu tous les phénomènes observés par les témoins, comme par exemple les couleurs de l’arc en ciel le 13 juillet 1917, les mystérieuses pluies de roses ou de flocons les 13 juillet et 13 septembre 1917.
Le nombre de témoins ayant assisté aux apparitions est lui-même inexplicable, à une époque où il n’y avait pas de radio et où les moyens de transport étaient limités. (Voir lettre de liaison n° 8).

Autre phénomène inexplicable : Les 70 000 témoins ayant assisté au miracle du 13 octobre étaient complètement trempés, car il avait plu toute la nuit et toute la matinée. Or, juste après le miracle, tous se retrouvèrent avec des habits parfaitement secs.

Les phénomènes miraculeux après les apparitions

Les guérisons

Comme à Lourdes, il y eut aussi de très nombreuses guérisons : en 1942, le Bureau des Constatations en avait déjà dénombré plus de 800, dont certaines absolument stupéfiantes.

Les pluies de roses

La mystérieuse pluie de flocons du 13 septembre 1917 se reproduisit les 13 mai 1918 et 13 mai 1924.

La conservation du corps de Jacinthe

Le 12 septembre 1935, le cercueil de Jacinthe fut transféré du cimetière de Vila Nova de Ourem à celui de Fatima. À cette occasion, il fut ouvert et le visage de la petite voyante apparut intact. Pourtant, à cause du caractère très contagieux de sa maladie, son corps avait été déposé dans un cercueil doublé de plomb, lequel fut rempli de chaux vive avant d’être fermé. (Voir lettre de liaison n° 76).

La route mondiale et le miracle des colombes

On appelle "route mondiale" une série de voyages de la statue de la Vierge de Fatima à travers le monde, pendant une douzaine d’années à partir de 1947. Outre une ferveur remarquable lors de ces routes et un nombre des conversions se chiffrant par milliers dans chaque pays traversé, au cours de ces voyages, plusieurs colombes restèrent aux pieds de la statue et rien ne les faisaient s’éloigner : ni le bruit, ni la présence des nombreux pèlerins, … Le phénomène fut observé des dizaines de fois. Aucune autre apparition n’a été à l’origine d’un tel phénomène. Autre particularité étonnante : les colombes disparaissaient dès que la statue entrait dans un pays musulman et réapparaissaient dès qu’elle en sortait.

Miracle du soleil au Vatican

Trente-trois ans après le miracle du 13 octobre 1917, le pape Pie XII eut la faveur insigne de pouvoir contempler le miracle du soleil depuis les jardins du Vatican. En effet, les 30 et 31 octobre, le 1er novembre (jour où il promulgua le dogme de l’Assomption) et le 8 novembre 1950, le pape, en se promenant en milieu d’après-midi dans les jardins du Vatican, observa à quatre reprises les phénomènes observés 33 ans plus tôt à Fatima. (Voir la fiche Miracles solaires au Vatican) Certes, il n’y eut qu’un témoin de ce phénomène, mais c’est un témoin digne de foi puisqu’il s’agit du pape lui-même.

Autres phénomènes miraculeux

Le Portugal fut épargné pendant la deuxième guerre mondiale suite aux deux consécrations du pays au Cœur Immaculé de Marie faites par tous les évêques portugais les 13 mai 1931 et 13 mai 1938. (voir lettre de liaison n° 16)
Il y eut aussi le spectaculaire retournement de la guerre en décembre 1942 après la consécration du monde au Cœur Immaculé de Marie par Pie XII. L’exemple donné dans la lettre de liaison n° 114 se situait sur le front de l’Ouest en Atlantique ; mais ce retournement eut lieu sur les trois fronts simultanément. Le renversement de la situation militaire est encore plus net dans les opérations terrestres : à partir de la fin de l'année 1942, les forces terrestres de l'Axe ne connaîtront plus aucun succès, sauf extrêmement ponctuels.

Voilà pour les principaux miracles. Leur nombre et leur caractère confèrent aux apparitions de Fatima une place complètement à part parmi les apparitions mariales.
Passons aux prophéties

Les prophéties

Elles sont de deux types : celles qui ont été dites par Notre-Dame et celles qui l’ont été par sœur Lucie.

Les prophéties de Notre-Dame

Elles ont déjà été présentées dans la lettre de liaison n° 23. Rappelons-les rapidement.

Les 13 mai, 13 juin, 13 juillet et 19 août 1917

  • Annonce des jours où Notre-Dame apparaîtra.

Vu des petits pastoureaux, l’annonce que Notre-Dame viendrait six fois le 13 du mois est une véritable prophétie, car il leur était impossible de savoir par avance combien de fois et quels jours la Sainte Vierge viendrait. De plus, à chaque fois, au lieu indiqué, à la date et à l’heure dites, les témoins purent observer des phénomènes extérieurs exceptionnels

Le 13 juin 1917

  • La mort rapide de François et Jacinthe alors qu'à l'époque des apparitions ils étaient en parfaite santé.
  • Une vie plus longue pour Lucie qui vécut effectivement jusqu'à quatre-vingts dix-huit ans.

Le 13 juillet 1917

  • L'élection d'un pape portant le nom de Pie XI. Pie XI sera effectivement le successeur de Benoît XV qui était pape au moment des apparitions.
  • L'annonce de la lumière inconnue dans le ciel peu avant la deuxième guerre mondiale (nuit de 25 au 26 janvier 1938 ; voir lettre de liaison n° 20).

Certains affirment qu’il s’agissait d’une aurore boréale d’une ampleur exceptionnelle. Mais même si c’était le cas, une telle ampleur n'aura jamais été observée ni avant ni après. Qu’elle ait été annoncée vingt ans auparavant est une prophétie vraiment exceptionnelle.

  • L'annonce d'une nouvelle guerre mondiale peu après cette lumière, guerre plus terrible que la précédente.
  • L'annonce que la Russie allait répandre ses erreurs dans le monde.

Cette prophétie est proprement stupéfiante tant elle s’est réalisée à la lettre tout en étant absolument inimaginable en 1917. En effet, le communisme allait avoir une expansion considérable, d’ampleur mondiale, alors qu'il naissait à peine à Moscou (les coups d'état contre le tzar sont de mars et octobre 1917).

Les 13 juillet, 19 août et 13 septembre

  • Le jour et l’heure du miracle du soleil. Dans les trois mois qui l’ont précédé, il fut annoncé trois fois.

Le 13 juillet et le 13 octobre

  • L'annonce de la fin très proche de la guerre, tout au moins pour le Portugal.

En effet, suite à l'élection inattendue du président Sidónio Pais en décembre 1917 (3 mois après les apparitions), le Portugal retira ses troupes du théâtre des opérations à partir d’avril 1918.

Annonces prophétiques de sœur Lucie

Plusieurs propos de sœur Lucie ont des consonnances réellement prophétiques.
Elle affirma dès 1938 que le Portugal serait épargné par la guerre (voir lettre de liaison n° 16).
Plusieurs fois elle indiqua que le troisième secret devrait être ouvert et lu au monde au plus tard en 1960, car alors il apparaîtrait plus clair.
Le 26 décembre 1957, elle confia au père Fuentès : « Ce qui afflige le Cœur Immaculé de Marie et celui de Jésus, c’est la chute des âmes religieuses et sacerdotales. Le démon sait que les religieux et les prêtres, en manquant à leur belle vocation, entraînent de nombreuses âmes en enfer (...). Le démon veut s’emparer des âmes consacrées ; il essaie de les corrompre pour endormir les autres dans l’impénitence finale. (…) Il en résulte la stérilité de la vie intérieure et la froideur chez les laïcs au sujet du renoncement aux plaisirs et de la totale immolation à Dieu. »

En conclusion, devant une telle profusion de preuves, il est indéniable que les apparitions de Fatima ont une importance particulière. Mais ce caractère apparait encore plus nettement, si on les compare aux autres apparitions mariales. Avant de procéder à cette comparaison, un petit rappel sur la reconnaissance des apparitions et révélations privées par l’Église est nécessaire.

La reconnaissance des révélations ou apparitions privées

Pour les apparitions ou révélations privées, il convient de faire une distinction entre celles dont l’Église a reconnu l’origine surnaturelle et les autres.
Des apparitions peuvent être reconnues de deux façons :

  • soit au cours d’un procès de canonisation : telles sont les apparitions de Notre-Seigneur à sainte Marguerite-Marie Alacoque, de Notre-Dame à sainte Catherine Labouré, les révélations de Dieu à sainte Catherine de Sienne, …
  • soit par une enquête spécifique. En effet, lorsqu’une apparition est connue du public avant qu’il soit possible de canoniser le voyant, l’Église est souvent dans l’obligation de faire une enquête du vivant du voyant. Ce fut le cas pour La Salette, Pontmain, Lourdes, Fatima, etc.

Il arrive que le voyant soit canonisé plus tard, comme ce fut le cas pour Bernadette, Jacinthe et Français Marto ou Juan Diego. Dans ce cas, les apparitions sont en quelque sorte reconnues une deuxième fois. Mais c’est loin d’être le cas général : pour Rome (Alphonse Ratisbonne), La Salette, Pontmain, … les voyants ne sont toujours pas canonisés.

Le nombre d’apparition reconnue par un procès spécifique est très petit : jusqu’en 1950, il n’y eut que huit apparitions reconnues pour des apparitions ayant eu lieu entre 1531 et 1933, soit huit en quatre siècles ! En effet, la procédure de reconnaissance était très sévère. À partir de 1970, la procédure fut assouplie et sept autres apparitions furent reconnues : trois apparitions ayant eu lieu avant 1900 et quatre après 1950.
Si on compare ces chiffres avec le nombre d’apparitions mariales, le pourcentage reste malgré tout très faible. Yves Chiron a fait une recension des apparitions signalées aux autorités diocésaines entre 1900 et 1993 : il en a recensé 361, soit presque quatre par an. Voici leur classement :

Décision

Nombre d’apparitions

Pourcentage

Approbation

         4

      1%

Décision négative

        79

     22%

Culte autorisé mais pas de reconnaissance

        11

       3%

Pas de décision

       267

      74%

Total

       361

     100%

Les quatre apparitions approuvées sont : Fatima, Beauraing, Banneux et Bétania au Venezuela, cette dernière ayant été reconnue en 1987. Dans cette recension, il manque les apparitions d’Akita qui ont été reconnues en 1984. Voici un graphique montrant la proportion des apparitions reconnues par rapport au total :

ApparitionsSont indiqués : en bleu le nombre des apparitions signalées chaque année à l’autorité diocésaine, en rouge le nombre des apparitions condamnées par l’Église. Les cinq apparitions reconnues sont signalées en vert.
Pour Beauraing et Banneux, on observe le même phénomène que pour Lourdes : il y eut plusieurs fausses apparitions pendant ou juste après les apparitions.

Ce graphique illustre la prudence qu’il faut avoir vis-à-vis des apparitions non reconnues par l’Église. Cela ne signifie pas que les apparitions non reconnues sont sans valeur : de nombreuses apparitions n’ont jamais fait l’objet d’enquête (ou ont une enquête n’ayant pas aboutie) et sont sûrement de vraies apparitions. Telles sont par exemple les apparitions de Quito (voir lettre de liaison n° 95) ou de Pellevoisin. Mais il ne faut accorder foi à des apparitions ou révélations non reconnues qu’avec une très grande prudence et si possible attendre le jugement de l’Église, ou au moins essayer de les analyser avec les critères définis par l’Église pour juger une révélation privée. (Pour une courte présentation de ces critères, voir sur le site le document : Discernement des esprits en matière d’apparition.)

Quant aux apparitions qui ont fait l’objet d’un constat de non surnaturalité, l’obéissance que nous devons en ce domaine à notre Sainte Mère l’Église, demande que nous ne nous y intéressions pas.

Ce point établi, essayons de voir la place des apparitions de Fatima parmi toutes ces apparitions.

La place des apparitions de Fatima

Il peut paraître contestable de vouloir comparer de tels événements, tant l’appréciation des critères peut être subjective. Toutefois, il n’est pas impossible d’établir certaines comparaisons.

Les miracles

Outre les miracles de conversion propres à toutes les apparitions, trois apparitions ont eu des miracles extraordinaires : Tepayac (Notre-Dame de Guadalupe) avec l’impression et la conservation de la Tilma de Juan Diego ; Pontmain avec le spectaculaire retournement de la guerre le lendemain de l’apparition ; Fatima avec les miracles de la danse du soleil en 1917 et de l’embrasement du ciel en 1938.
Tepayac est particulièrement extraordinaire, car c’est un miracle que l’on peut encore constater de nos jours. Ce miracle de l’impression et de la conservation de la Tilma est à la Sainte Vierge ce que le linceul de Turin est à Notre-Seigneur.
À Lourdes, il y eut un phénomène miraculeux : le cierge brûlant entre les mains de Bernadette sans la brûler, lors de la dernière apparition le 7 avril 1858.
Mais Lourdes est surtout réputé pour ses miracles de guérison. S’il n’y eut que 70 guérisons reconnues par le Bureau des Constatations, il y a plus de 7 000 guérisons inexplicables, dont certaines faites par Bernadette elle-même au moment des apparitions. Trois autres apparitions sont aussi à l’origine de guérisons miraculeuses : Fatima, La Salette et Banneux.

Pour les autres apparitions, reconnues ou non, à part quelques exceptions, comme la conservation des fondatrices du couvent pour les apparitions de Quito, les autres apparitions n’ont pas été l’occasion de phénomène miraculeux.

Si on met à part les guérisons miraculeuses qui placent Lourdes en premier, Fatima arrive en premier pour le nombre et la qualité des miracles, même si le miracle de la tilma de Juan Diego est véritablement exceptionnel.

Le nombre de témoins

Le nombre de témoins est également un indice : 70 000 à Fatima, 30 000 à Banneux, 8 000 à Lourdes. Trois apparitions n’ont pas eu de témoin, Tepayac, Rome, La Salette. À Pontmain et Beauraing, le nombre des témoins ne dépassa pas quelques dizaines.

Les prophéties

Seules les apparitions de La Salette et Fatima ont eu des prophéties. Mais celle de Fatima sont plus nombreuses, plus précises et certaines se sont vérifiées de façon spectaculaire.

Culte, sanctuaire, pèlerins

Le lieu d’apparition le plus visité est sans conteste Notre-Dame de Guadalupe avec 20 millions de pèlerins par an, devant Lourdes (6 millions de pèlerins) et Fatima (5 millions en général, 9 millions en 2017). Les autres sanctuaires sont assez loin derrière, avec entre 100 et 400 000 pèlerins par an.
Lourdes, Fatima et Notre-Dame de Guadalupe ont des basiliques imposantes. La Salette a aussi une belle basilique. Les autres sanctuaires ont des églises plus modestes.

Les messages et les secrets délivrés

À Tepayac, Rome, Pontmain, Beauraing et Banneux, il n’y eut qu’un message simple : un appel à la prière ou la demande de construction d’une chapelle. À La Salette et Fatima, il y eut un secret. Chacun de ces deux secrets a fait, et fait encore, couler beaucoup d’encre. Lourdes et Fatima se distinguent aussi par l’importance de leur message : l’Immaculée conception pour Lourdes, la dévotion au Cœur Immaculé de Marie pour Fatima.

Conclusion

Il y aurait encore bien d’autres comparaisons possibles. Mais ce qui est remarquable, c’est que, quel que soit le critère choisi (miracles, prophéties, témoins, culte, …), à chaque fois Fatima surpasse les autres apparitions, soit par le nombre, soit par la qualité des éléments. Et seules les apparitions de Fatima ont tous les types de preuves possibles.
Ce luxe de preuves de l’origine divine des apparitions de Fatima est absolument unique dans l’histoire, exception faite de la vie de Notre-Seigneur. Mais depuis l’Ascension, aucune apparition, même de Notre-Seigneur, n’eut autant de marques d’une origine divine. Or, si le Ciel a pris soin d’entourer les apparitions de Fatima d’autant de preuves, c’est que le message de Fatima est d’une importance exceptionnelle. Toutes ces raisons font qu’il est très important de le connaître, même si le Vatican affirme qu’il est une invention de sœur Lucie. Car il vaut mieux obéir à Dieu qu’aux hommes. Un message authentifié de cette façon est sûrement une parole divine qui ne peut être surpassée par aucune parole humaine.

En union de prière dans le Cœur Immaculé de Marie.
Yves de Lassus

Premier samedi du mois

Le mystère qu’il est proposé de méditer pour ce premier samedi du mois, est le troisième mystère douloureux : le couronnement d’épines. Comme pour le précédent, dans L’année liturgique de Dom Guéranger, le commentaire sur ce sujet est peu développé. Aussi est-il proposé une nouvelle fois une méditation tirée de La passion de Notre-Seigneur par Anne-Catherine Emmerich.

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