Dieu veut établir dans le monde la dévotion à mon Cœur Immaculé. Notre-Dame, le 13 juillet 1917

Samedi prochain, 1er octobre 2022 : 1er samedi du mois

N’oublions pas de réciter un acte de réparation ce jour-là.

Méditation
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  3e mystère glorieux : La  Pentecôte

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 les blasphèmes contre la maternité divine de la Très Sainte Vierge

Lettre de liaison n° 142 (28 septembre 2022)Imprimer

Avant de poursuivre nos réflexions sur les paroles de Notre-Dame à Fatima, arrêtons-nous sur son attitude pendant les apparitions. Ce qui frappe dans l’attitude de l’Ange et de la Sainte Vierge, c’est leur humilité. Ni l’Ange, ni Notre-Dame n’ont directement parlé de l’humilité, mais leur attitude nous donne discrètement quelques enseignements sur cette vertu dont beaucoup ne soupçonnent pas l’importance. Interrogé par Dioscore, un païen qui lui écrivait pour le consulter sur les dialogues de Cicéron, saint Augustin répondit :

C'est à lui [le Christ], mon cher Dioscore, que je voudrais que vous fussiez entièrement et pieusement soumis ; je ne voudrais pas que, pour aller à la vérité, vous cherchassiez d'autres voies que les voies ouvertes par Celui qui, étant Dieu, a vu la faiblesse de nos pas. La première de ces voies c'est l'humilité ; la seconde, l'humilité ; la troisième, l'humilité ; toutes les fois que vous m'interrogerez, je vous répondrai la même chose. Ce n'est pas qu'il n'y ait d'autres préceptes ; mais si l'humilité ne précède, n'accompagne et ne suit tout ce que nous faisons de bien, si elle n'est pas comme un but vers lequel se portent nos regards, si elle n'est pas près de nous pour que nous nous attachions à elle et au-dessus de nous pour nous réprimer dans la satisfaction de quelque bonne action, l'orgueil nous arrache tout de la main.

L’humilité, comme l’obéissance d’ailleurs, est malheureusement une vertu loin d’être prisée dans notre société moderne. Au contraire, l’atmosphère ambiante met en avant les soi-disant "droits" des uns ou des autres, conduisant à une contestation généralisée, y compris de la loi naturelle. Aussi n’est-il sans doute pas inutile de commencer par voir ce qu’est l’humilité afin de mieux comprendre le discret enseignement de l’Ange et de Notre-Dame sur ce point.

L’humilité est une vertu que les païens n’ont pas connue : pour eux, l’humilité désignait quelque chose d’abject ou de servile, voire d’ignoble. Aucun des philosophes de l’antiquité n’en a compris la beauté. Toutes les vertus qu’ils prônaient avaient pour base un orgueil plus ou moins avoué, plus ou moins conscient. Généralement, ils croyaient que c’était en s’élevant que l’homme pouvait arriver à la gloire et à l’épanouissement de sa personnalité ; en s’humiliant, au contraire, il ne faisait que se diminuer et s’avilir.

Notre-Seigneur va renverser ce point de vue et montrer toute la noblesse de l’humilité. Il l’a pratiquée et enseignée avec plus de soin qu’aucune autre vertu et a manifesté pour elle une prédilection spéciale. On le voit notamment dans les paraboles du pharisien et du publicain, du bon samaritain, de l’enfant prodigue, etc. Il enseigna aux pharisiens à prendre la dernière place dans les banquets, ajoutant : « Quiconque s’élève sera humilié, et quiconque s’abaisse sera élevé. » (Luc XIV, 11)
Les trois synoptiques rapportent qu’un jour où les apôtres discutaient entre eux pour savoir qui serait le plus grand dans le royaume des cieux, Jésus prit un petit enfant et le mit au milieu d’eux en disant : « Si vous ne changez pas de façon à devenir comme les petits enfants, vous n’entrerez pas dans le royaume des cieux. Celui qui se fera humble comme ce petit enfant, sera le plus grand dans le royaume des cieux. » (Mat XVIII, 3-4) « Quiconque veut être grand parmi vous sera votre serviteur et quiconque veut être le premier parmi vous se fera l’esclave de tous. » (Mc X, 43-44) « Celui d’entre vous tous qui est le plus petit, c’est celui-là qui est grand. » (Luc IX, 48)
Jésus révéla : « Apprenez de moi que je suis doux et humble de cœur. » Il n’a pas dit : Apprenez de moi à être pauvre, à mépriser le monde, à jeûner ou à faire des miracles. Et il précisa : Apprenez « de moi », comme s’il ne voulait s’en remettre ni aux prophètes, ni aux docteurs, ni aux anges, ni à personne d’autre pour enseigner cette vertu.  Aussi, pour Saint Basile, toute la doctrine que Jésus a prêchée peut-elle se ramener à l’humilité.

Et non seulement il n’y a pas de vérité qui soit affirmée avec plus de force dans la Sainte Écriture, mais toute la tradition catholique l’a constamment confirmée. Au dire des saints, l’humilité est l’une des vertus les plus excellentes, car elle est le fondement des vertus et la clé qui ouvre les trésors de la grâce.
Dans sa Règle, saint Benoît a ramené toutes les autres vertus à celle-là. Le chapitre sur l’humilité (le chapitre 7) est le plus long des 73 chapitres de sa Règle : à lui seul, il occupe presque un dixième du texte. Pour conduire ses disciples à la véritable paix, il n’a pas trouvé de voie plus directe et plus sûre. Pour lui, elle est une vertu générale, mère et maîtresse de toutes les autres ; et quiconque la suit échappera à toutes les ruses de l’amour-propre, à tous les pièges du démon et arrivera ainsi à la gloire éternelle.

Certes, en dignité, l’humilité n’est pas la première des vertus. Saint Thomas (qui lui consacre toute la question 161 dans la IIa-IIae de la Somme théologique) enseigne qu’elle est inférieure aux vertus théologales qui ont Dieu pour objet, inférieure aussi à certaines vertus morales, comme la prudence, la religion ou la justice qui concernent le bien commun ; mais l’humilité est supérieure aux autres vertus morales à cause de son caractère universel et parce qu’elle nous soumet à l’ordre divin en toutes choses (IIa IIae, q. 161, a. 5). C’est seulement dans l’ordre pratique que l’humilité est la première, parce qu’elle écarte l’obstacle dont la présence arrête la grâce de Dieu et empêche notre conversion, à savoir l’orgueil. En effet, par la connaissance qu’elle nous donne de nous-même, l’humilité nous incite à nous estimer à notre juste valeur et à rechercher l’effacement et le mépris.

Ainsi, l’humilité est sinon la mère, tout au moins la nourrice de toutes les vertus : sans elle, il n’est point de vertu solide ; avec elle, les vertus deviennent plus profondes et plus parfaites. Car elle établit dans notre âme un terrain propice à la croissance de toutes les vertus. A contrario, toutes les pratiques de mortification, tous les exercices de piété, toutes les œuvres même de charité risquent de devenir un principe de corruption pour celui qui s’y livre, s’ils ne sont pas accompagnés d’humilité. C’est pour cela que, dans l’ordre pratique, l’humilité est la première des vertus : elle permet aux autres vertus de croître, comme une bonne terre est nécessaire pour que les plantes croissent. Le jardinier, avant de planter, commence par amender la terre. Sans doute est-ce la raison pour laquelle le premier des mystères du rosaire, dont le fruit est l’humilité, nous fait méditer sur l’incarnation du Verbe, acte d’humilité par excellence.

Le démon lui-même a reconnu la puissance de cette vertu. On en trouve un exemple chez les pères du désert. Un jour, saint Macaire d’Alexandrie vit un démon armé d’une faux se précipiter sur lui. Mais Dieu protégea le saint moine et ne permit pas à l’esprit infernal de le toucher. Le démon, fou de rage, s’écria : « Macaire, ce n’est pas par tes jeûnes que tu triomphes de moi, car tu manges quelquefois et moi je ne mange jamais ; ce n’est pas non plus par tes veilles, car tu dors quelquefois et moi je ne prends jamais aucun repos ; mais c’est par ton humilité ! »

À l’opposé de l’humilité, l’orgueil est la cause de tous les malheurs du monde. Le premier péché de la création fut le Non serviam de Lucifer. Le second péché fut également un péché d’orgueil, celui d’Adam et Eve : en mangeant du fruit défendu, ils voulurent se hausser au-dessus de la condition si belle que leur Créateur leur avait faite ; ils cédèrent à la suggestion du démon et crurent qu’en mangeant le fruit défendu ils allaient devenir semblables à Dieu. À l’inverse, c’est par un acte d’humilité, le Fiat de la Sainte Vierge, que le monde a pu être racheté.

Mais comment faire pour acquérir l’humilité ? Car si elle est une des vertus les plus importantes, c’est aussi (au moins pour la plupart d’entre nous) une des plus difficiles à acquérir. Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus reconnaissait qu’il fallait beaucoup d’humiliations pour avoir un peu d’humilité.
Il est vrai que, même chez les plus pieux, cette vertu reste difficile à pratiquer. Telle personne très éprise d’oraison, au point de paraître vraiment fixée en Dieu, perd malheureusement son calme devant les imprévus et les contretemps. Telle autre goûte dans la sainte communion les plus grandes douceurs, mais refuse de reconnaître ses défauts. Telle autre encore, très dévouée pour le prochain et toujours prête à s’oublier elle-même, s’étonne qu’on lui en témoigne si peu de gratitude ; etc. Toutes ces réactions dénotent hélas un manque d’humilité, permettant de conclure que, malgré les apparences, la vertu de ces personnes est plus fondée sur l’amour-propre que sur l’amour de Dieu.

Concrètement comment faire pour devenir humble ? Saint Benoît dans sa Règle indique douze degrés pour acquérir cette vertu, chacun d’eux constituant un effort concret qui permet d’y parvenir graduellement : 1) avoir constamment devant les yeux la crainte de Dieu et se garder de l’oublier, se souvenir sans cesse de tout ce que Dieu a commandé et y obéir sans délai ; 2) ne pas aimer sa volonté propre et ne pas se complaire dans l’accomplissement de ses désirs ; 3) se soumettre pour l’amour de Dieu en toute obéissance aux supérieurs, embrasser la patience dans l’exercice de cette obéissance ; 5) ne rien cacher à son Abbé (règle que nous pouvons traduire par ne rien cacher à son confesseur) ; 6) trouver son contentement en toute tâche vile et basse et en tout ce qui nous est confié, se considérer comme un ouvrier mauvais et indigne ; 7) se proclamer le dernier et le plus vil de tous, mais aussi le croire intimement ; 8) ne faire que ce qui est ordonné par la Règle commune du monastère et ce que recommandent les exemples des supérieurs (pour nous : se conformer strictement à la loi divine, qui est précisément l’effort demandé par Notre-Seigneur à sœur Lucie) ; 9) s’interdire de parler et demeurer en silence, sans rien dire, jusqu’à être interrogé, ne pas parler à tort et à travers ; 10) n’être ni enclin ni prompt à rire ; 11) s’exprimer doucement et sans rire, humblement et avec gravité, disant en peu de mots des choses raisonnables, évitant les éclats de voix et sans élever le ton ; 12) posséder cette humilité non seulement dans son cœur, mais la montrer encore constamment par son attitude extérieure (à savoir la modestie). La méditation de chacun de ces degrés nous aidera à progresser dans la vertu d’humilité.

Pourtant, direz-vous, il faut bien faire fructifier nos talents. L’Évangile ne prescrit-il pas : « Que votre lumière brille devant les hommes afin qu’ils voient vos bonnes œuvres et glorifient votre Père qui est dans les cieux » (Mat V, 16) ? Bien sûr, il y a de bonnes choses en nous, en particulier toutes les qualités ou grâces que Dieu y a mises. L’humilité ne doit pas nous empêcher de les voir, ni même de les admirer. Mais il faut le faire à la manière dont on admire un tableau. Devant un tableau, ce n’est pas la toile, le cadre ou les couleurs que l’on admire : c’est à l’artiste que vont nos admirations. Ainsi doit-il en être pour les dons et grâces que Dieu nous a accordés : c’est à Lui et non à nous-même que doit aller notre admiration. Et c’est pour Lui que nous devons chercher à les faire fructifier. Ce faisant, nous devons reconnaître que nous sommes des malheureux, misérables, pauvres et nus ; pour cela, nous devons nous vider de la haute idée que nous avons de nous-mêmes.

Saint Thomas enseigne qu’il faut, en nous, distinguer ce qui appartient à Dieu de ce qui nous appartient en propre. Or tout ce qu’il y a de bien vient de Dieu et lui appartient ; tout ce qu’il y a de mal ou de défectueux vient de nous (IIa IIae, q 161, a 3). Tout en reconnaissant le bien qui est en nous pour en remercier Dieu, nous devons surtout considérer ce qu’il y a de défectueux en nous, voir notre néant. « Je suis celui qui suis et tu es celle qui n’est pas » dit Dieu à saint Catherine de Sienne. Il faut nous humilier de ce que nous avons si mal utilisé les talents que le Bon Dieu nous a donnés. Et lorsque nous nous efforçons de les développer comme le demande l’Évangile, il ne faut pas chercher à briller ou à se faire estimer, mais à être utile et à faire du bien.
Quant à notre prochain, il faut voir ce que Dieu a mis de bon en lui, tant sur le plan naturel que surnaturel, l’admirer sans envie ni jalousie, et jeter un voile pudique sur ses défauts, en les excusant dans la mesure du possible, sous réserve de ne pas être chargé par devoir d’état de le réformer. Il faut se réjouir de ses succès. Et si on le voit tomber en quelque faute, au lieu de s’en indigner, il faut prier pour sa conversion, et se persuader que, sans la grâce de Dieu, nous serions peut-être tombés dans des fautes beaucoup plus graves. C’est ainsi que nous pourrons nous regarder comme inférieur à notre prochain.

Que disent sur ce point Notre-Dame et l’Ange de Fatima ? S’ils n’ont pas parlé de l’humilité proprement dite, ils ont toutefois donné quelques enseignements.
L’humilité se présente sous deux formes : l’humilité de l’inférieur vis-à-vis d’un supérieur et celle du supérieur vis-à-vis d’un inférieur. Les deux formes nous concernent puisque nous sommes tous, plus ou moins, dans des positions d’inférieur ou de supérieur. L’Ange et Notre-Dame nous donnent chacun un exemple de chaque cas.
Dans la lettre de liaison n° 140, nous avons vu l’humilité de l’Ange se manifestant par le profond respect qu’il montrait en priant : c’est l’humilité que nous devons avoir vis-à-vis de Dieu.
En s’adressant simplement à des personnes très humbles et sans beaucoup d’éducation, les petits bergers de La Salette, Bernadette à Lourdes, les petits bergers de Fatima, Notre-Dame nous montre l’humilité que nous devons avoir vis-à-vis de notre prochain. Elle est même allée jusqu’à vouvoyer Bernadette, ce qui a profondément impressionné la petite bergère.

En effet, Dieu a toujours eu une prédilection pour les faibles et les choisit généralement pour réaliser ses œuvres : il s’est servi d’un enfant pour tuer Goliath, d’une femme pour vaincre Holopherne, de douze hommes de condition modeste, dont de simples pêcheurs, pour convertir le monde. Il a choisi trois jeunes bergers d’un petit hameau reculé du Portugal pour leur confier l’un des plus importants messages qu’Il voulait donner à l’Église.
Notre-Seigneur dit un jour à sainte Marguerite-Marie : « Je me sers des sujets les plus faibles pour confondre les forts, et c’est ordinairement sur les plus petits et les pauvres d’esprit que ma Puissance se manifeste avec plus d’éclat, afin qu’ils ne s’attribuent rien d’eux-mêmes… Je t’ai choisie comme un abîme de misère et d’ignorance pour l’accomplissement de mes desseins, afin que tout soit fait par Moi... Plus tu te retires dans ton néant, plus ma grandeur s’abaisse pour te trouver. »

Mais il n’y a pas que l’attitude de l’Ange et de Notre-Dame qui nous parle d’humilité : certaines de leurs paroles le font également. Dans l’apparition de l’été 1916, l’Ange demanda : « De tout ce que vous pourrez, offrez à Dieu un sacrifice en acte de réparation pour les péchés par lesquels Il est offensé, et de supplication pour la conversion des pécheurs. »
Dans l’apparition du 13 mai 1917, Notre-Dame demanda aux petits voyants s’ils acceptaient de « s’offrir à Dieu pour supporter toutes les souffrances qu’Il voudra vous envoyer, en acte de réparation pour les péchés par lesquels Il est offensé, et de supplication pour la conversion des pécheurs ». Et pour les aider, le 13 juillet suivant, elle leur apprendra une prière : « Sacrifiez-vous pour les pécheurs, et dites souvent, spécialement chaque fois que vous ferez un sacrifice : "Ô Jésus, c’est par amour pour Vous, pour la conversion des pécheurs, et en réparation des péchés commis contre le Cœur Immaculé de Marie". »
Ainsi, aussi bien l’Ange et que Notre-Dame nous demandent d’offrir des sacrifices pour la conversion des pécheurs, quand bien même ils auraient commis des fautes particulièrement graves. Or quoi de plus humble que de prier pour quelqu’un qui a commis une faute grave, surtout si cette faute nous a atteint personnellement ?

Alors, méditons soigneusement sur l’attitude de l’Ange et de Notre-Dame à Fatima. Qu’elle nous incite à cultiver cette vertu si précieuse de l’humilité. Surtout demandons à la Sainte Vierge de nous l’accorder. Efforçons-nous de la pratiquer d’abord vis-à-vis de Dieu en nous reconnaissant pécheur, puis vis-à-vis des autres en nous jugeant moins bons qu’eux dans de nombreux domaines. Quant à nos qualités ou talents, reconnaissons qu’ils viennent de Dieu et restons au niveau de ceux qui ne les ont pas pour leur en faire profiter et ainsi exercer la charité.

En union de prière dans le Cœur Immaculé de Marie.
Yves de Lassus

Premiers samedis du mois

Le 9 mars 1904, le pape saint Pie X accorda une indulgence plénière au moment de la mort à tous ceux qui réciteraient l’acte suivant d’acceptation de la mort :

Seigneur mon Dieu, dès aujourd'hui, j'accepte de votre main, volontiers et de grand cœur, le genre de mort qu'il vous plaira de m'envoyer, avec toutes ses angoisses, toutes ses peines et toutes ses douleurs.

Comme toute indulgence, pour la gagner, il faut aussi se confesser et communier. Or, chaque premier samedi du mois, si nous suivons les demandes de Notre-Dame, nous nous confessons et nous communions : il nous est donc facile de gagner cette indulgence ce jour-là. Alors n’hésitons pas à réciter l’acte d’acceptation de la mort de saint Pie X chaque premier samedi du mois après notre communion.

Envoi des lettres de liaison

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