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Samedi prochain, 6 juillet 2019 : 1er samedi du mois
Méditation |
4e mystère joyeux : La présentation de Jésus au temple |
Offrir ce 1er samedi |
les offenses de ceux qui cherchent publiquement à inculquer dans le cœur des enfants l’indifférence, le mépris ou la haine à l’égard de Notre-Dame. |
Lettre de liaison n° 96 (3 juillet 2019)
Chers amis,
Vers la fin d’une précédente lettre de liaison (lettre n° 94), une expression peu heureuse a été employée à propos du jeûne. Il était dit : « Dieu ne nous demande pas forcément de jeûner comme les Ninivites. » Un lecteur s’étant justement étonné, la lettre a été corrigée sur le site de la façon suivante : « Dieu ne nous demande pas uniquement de jeûner comme les Ninivites. » Malgré tout, l’expression reste en partie défectueuse, ou au mieux incomplète. Ce point demande à être précisé et pour cela, il convient d’analyser la place du sacrifice, en particulier du jeûne, dans la dévotion au Cœur Immaculé de Marie.
Le sujet du sacrifice a été déjà plusieurs fois abordé dans cette lettre. Aussi, pour certains, ne sera-ce peut-être qu’une redite ; mais étant donné l’importance du sacrifice dans la dévotion au Cœur Immaculé de Marie, il n’est pas inutile de revenir sur le sujet. D’ailleurs, dans sa lettre à Timothée, qui sert d’épître à la fête d’aujourd’hui (saint Irénée), saint Paul donne le conseil suivant : « Je t’adjure devant Dieu et devant le Christ Jésus, qui doit juger les vivants et les morts, et par son apparition et son règne, prêche la parole, insiste à temps et à contretemps, reprends, menace, exhorte, avec une entière patience et toujours en instruisant. »
De plus beaucoup de ceux qui reçoivent cette lettre ne la reçoivent pas depuis le début et n’ont donc pas forcément lu les lettres où le sujet du sacrifice a été abordé. Enfin, au moment où nombre d’entre nous s’apprêtent à prendre des vacances, il n’est pas inutile non plus de rappeler que, malgré la légitime préoccupation de se détendre et de se reposer, il ne faut pas pour autant négliger notre vie spirituelle.
La dévotion au Cœur Immaculé, telle qu’elle a été révélée à Fatima, comprend cinq pratiques qui ont été demandées soit par l’Ange dans les apparitions de 1916, soit par Notre-Dame dans celles de 1917, soit par Notre-Dame, Notre-Seigneur ou l’Enfant-Jésus lors des apparitions qu’eut sœur Lucie pendant sa vie religieuse et plus particulièrement entre 1925 et 1944.
- Le premier point, demandé par l’Ange lors de sa deuxième apparition en 1916, puis par Notre-Dame plusieurs fois en 1917, est l’offrande de sacrifices pour la conversion des pécheurs.
- Le second point est la récitation quotidienne du chapelet, demande faite à chacune des six apparitions de Notre-Dame en 1917.
- Le troisième point est la communion réparatrice des premiers samedis du mois, demandée une première fois le 13 juillet 1917, puis en 1925 et dans d’autres apparitions ultérieures.
- Le quatrième point est la consécration au Cœur Immaculé de Marie. Formellement, seule la consécration de la Russie a été demandée, une première fois le 13 juillet 1917, et puis dans différentes apparitions à partir de 1929. Mais le père Alonso a expliqué : « La consécration de la Russie n'arrivera que comme le fruit de la consécration généralisée et intense de tous les membres et de toutes les collectivités de l'Église. C'est pourquoi - ainsi que l'ont bien compris et exprimé le pape Pie XII et le pape Paul VI - il est nécessaire d'exhorter les fidèles à réaliser leur consécration personnelle et à la vivre intensément. C’est là le meilleur moyen de hâter l'heure du triomphe du Cœur Immaculé de Marie, et l'avènement du Royaume de Dieu sur la terre. »
- Le dernier point est le port du scapulaire de Notre-Dame du Mont Carmel.
À première vue, ces demandes peuvent paraître exigeantes, mais toutes ne le sont pas de la même façon. La consécration au Cœur Immaculé de Marie et l’imposition du scapulaire ne sont à faire qu’une fois : ce n’est donc pas très exigent. Le scapulaire pouvant être porté sous forme d’une médaille, là encore, ce n’est guère exigeant. Afin de rendre ces pratiques plus accessibles, une préparation à la consécration est proposée régulièrement, préparation qui n’a pas de caractère obligatoire, mais qui aide à bien comprendre la signification d’une consécration au Cœur Immaculé de Marie. (Pour s’inscrire à une prochaine consécration, cliquer ICI)
La communion réparatrice des premiers samedis du mois est plus exigeante, car outre la communion, il est demandé de se confesser (si possible le jour-même, ou tout au moins à une date proche), de réciter le chapelet et de méditer pendant un quart d’heure sur les mystères du rosaire. Toutefois, un tel effort une fois par mois, n’est sûrement pas un effort insurmontable : nous sommes capables de faire des efforts beaucoup plus importants pour des objectifs matériels d’une valeur bien inférieure aux grâces que nous obtiennent la dévotion des premiers samedis du mois. Pour nous aider dans cette pratique, une lettre de liaison proposant une méditation est envoyée quelques jours avant chaque premier samedi.
Les pratiques les plus difficiles sont manifestement le chapelet quotidien et l’offrande des sacrifices. À ceux qui ont vraiment du mal à réciter leur chapelet, il est proposé de s’inscrire dans un rosaire vivant, ce qui réduit sensiblement l’effort à faire, lequel s’il est fait avec persévérance conduira petit à petit à avoir la grâce de dire un chapelet complet tous les jours. (Pour s’inscrire à un rosaire vivant, cliquer ICI)
L’offrande des sacrifices, par contre, demande un réel effort. Or, il est primordial d’y apporter toute notre attention, car c’est le point le plus important du message de Fatima.
« Quelle est la principale demande de Notre-Dame ? » demanda un jour John Haffert à sœur Lucie. Elle lui répondit : « Le sacrifice ». Et son interlocuteur ayant poursuivi en disant : « Et qu’entendez-vous par sacrifice ? », elle résuma tout ce que lui avait dit aussi bien Notre-Dame que Notre-Seigneur : « Par sacrifice, Notre-Dame a dit qu’elle entendait l’accomplissement loyal du devoir d’état quotidien de chacun. »
Dans un entretien avec un dominicain américain, le père Thomas McGlynn, qui lui demandait en quoi consistait le message de Fatima, sœur Lucie répondit : « La conversion des pécheurs, et le retour des âmes à Dieu. Cette idée a été répétée dans toutes les apparitions ; c’est pourquoi je considère que c’est l’essentiel du message. » En toute rigueur, la Sainte Vierge n’a pas abordé ce thème lors des trois dernières apparitions. Mais, il a été abordé dans toutes les autres, y compris celles de l’Ange, soit six apparitions sur les neuf de 1916 et 1917, ainsi que dans les apparitions de Pontevedra et Tuy.
L’offrande des sacrifices pour la conversion des pécheurs est donc un point essentiel du message de Fatima, et il faut avoir à cœur de suivre cette demande de Notre-Dame qui n’hésita pas à dire le 19 août 1917 : « Beaucoup d’âmes vont en enfer, parce qu’elles n'ont personne qui se sacrifie et prie pour elles. »
Si nous voulons répondre à l’appel de Notre-Dame, nous devons donc offrir sans cesse des sacrifices pour la conversion des pécheurs, ce d’autant plus que Dieu ne donne pas les mêmes grâces à tous, ni de la même façon : Il veut que nous exercions la charité les uns envers les autres, y compris dans le domaine spirituel. Voici ce qu’Il confia Lui-même à sainte Catherine de Sienne :
Après que l’âme a éprouvé pour elle-même les bienheureux effets de cet amour d’union qui l’attache à Moi et par lequel elle s’aime elle-même en Moi, elle étend son affection au salut du monde entier, en subvenant à ses nécessités. (…)
Elle vient en aide à ceux qui sont près d’elle, suivant les grâces diverses que Je lui ai départies pour le service d’autrui. Celui-ci sert le prochain par la doctrine, c’est-à-dire par la parole, prodiguant ses conseils sans regarder à ses propres intérêts. Celui-là soutient par l’exemple de sa vie, ce que tous doivent faire, car chacun est tenu d’édifier le prochain par une vie sainte et honnête. Telles sont les vertus (…) qu’engendre l’amour du prochain. Il est entre elles des différences, et Je ne les donne pas toutes également à chacun. J’en donne une à celui-ci, une autre à celui-là. (…)
Il en est plusieurs que Je distribue de telle manière, tantôt à l’un, tantôt à l’autre, qu’elles apparaissent comme étant la vertu capitale en regard des autres. À l’un c’est la charité ; à l’autre, la justice ; à celui-ci, l’humilité ; à celui-là, une foi vive ; à quelques-uns la prudence, ou la tempérance, ou la patience ; à certains, la force. (…)
Quant aux biens temporels, pour les choses nécessaires à la vie humaine, Je les ai distribués avec la plus grande inégalité et Je n’ai pas voulu que chacun possédât tout ce qui lui était nécessaire pour que les hommes aient ainsi l’occasion, par nécessité, de pratiquer la charité les uns envers les autres. Il était en mon pouvoir de doter les hommes de tout ce qui leur était nécessaire pour le corps et pour l’âme ; mais J’ai voulu qu’ils eussent besoin des autres et qu’ils fussent mes ministres pour la distribution des grâces et des libéralités qu’ils ont reçues de moi.
C’est pour leur faire pratiquer la vertu de charité que Je les ai faits mes ministres, que Je les ai placés dans des états différents et des conditions inégales. (Sainte Catherine de Sienne, Le dialogue, 1re réponse, chapitre 6)
Ainsi, même si Dieu, par justice, donne à tous les grâces nécessaires pour faire son salut, ces grâces ne sont pas également réparties. Dieu aurait pu « doter les hommes de tout ce qui leur était nécessaire pour le corps et pour l’âme », mais Il ne l’a pas voulu : Il a voulu que nous exercions la charité dans le domaine spirituel comme dans le domaine temporel. Et c’est précisément ce que demande Notre-Dame : offrir les sacrifices de la vie quotidienne pour le salut de notre prochain. C’est sans doute là une des formes les plus élevées de la charité que nous pouvons exercer envers notre prochain puisque nous l’aidons ainsi à se convertir et à faire son salut. À nous à qui il a été donné de comprendre cette grâce d’offrir nos sacrifices, il faut multiplier ce talent et offrir tous les sacrifices possibles pour la conversion des pécheurs.
Et le Ciel a précisé quels sacrifices il attendait de nous.
Il y a d’abord toutes les difficultés que nous rencontrons dans la vie quotidienne : toutes les contrariétés, les injustices, les infirmités, les douleurs, les "croix" que nous avons à porter, pour utiliser un langage catholique, et que nous ne pouvons que subir, car elles ne dépendent pas de nous. Ce sont les premiers sacrifices que l’Ange demande aux petits voyants d’offrir. (Voir lettres de liaison n° 64 et n°65)
Ensuite, il y a les sacrifices que demande l’observance de la loi divine, comme par exemple garder une tenue décente malgré la chaleur. Cette loi est parfois mal comprise de nos jours et vue comme une série de contraintes que l’on comprend plus ou moins, notamment en matière morale. Pourtant, cette loi est véritablement une loi d’amour. Si nous la comprenions bien, nous refuserions la moindre transgression.
À ces deux types de sacrifices, qui sont des sacrifices subis, donc que nous ne choisissons pas, il faut ajouter les sacrifices volontaires, ceux que nous choisissons nous-même alors que nous n’y sommes pas obligés. (Voir lettre de liaison n° 69) Ces sacrifices ne sont pas mentionnés explicitement dans les paroles de l’Ange ou de Notre-Dame. Mais ils en sont la conséquence logique. Pourquoi ?
Il serait trop long d’en détailler ici toutes les raisons. La première est bien évidemment que tout sacrifice offert, qu’il soit volontaire ou non, nous conforme un peu plus à Jésus-Christ ; et plus nous offrons de sacrifices, plus nous obtenons de grâces pour les pécheurs. C’est ce que comprirent très bien les petits voyants de Fatima qui, plusieurs fois par jour, ajoutaient quelques petits sacrifices aux difficultés auxquelles ils étaient confrontés, ce afin de pouvoir offrir plus de sacrifices pour la conversion des pécheurs.
Il y a aussi une raison que l’on pourrait qualifiée de pédagogique. L’offrande des sacrifices subis dans la vie quotidienne ou demandés par l’observance de notre devoir d’état, demande une grande volonté. Or pour acquérir une telle volonté, il faut un peu d’entraînement ; il faut s’imposer de temps à autre de petits exercices. Tous les athlètes le savent. Il en va de même dans le domaine spirituel. Saint Ignace de Loyala l’a remarquablement compris en rédigeant ses Exercices spirituels pour se vaincre soi-même et régler sa vie sans se déterminer par aucune affection désordonnée. Ainsi, acquérir la volonté nécessaire pour offrir tous les sacrifices de la vie quotidienne, demande en quelque sorte faire des "exercices de sacrifice" ! C’est-à-dire qu’il faut faire de petits sacrifices que nous nous imposons nous-même et que nous savons à notre portée, afin que lorsque nous rencontrons un sacrifice non choisi, nous ayons une volonté entraînée et suffisamment forte pour l’accepter et l’offrir.
Ainsi, il y a un ordre dans les sacrifices demandés par le Ciel : en premier lieu, il y a l’acceptation des difficultés de la vie quotidienne, ensuite l’accomplissement de son devoir d’état, enfin les sacrifices volontaires. Mais l’homme est ainsi fait que, s’il veut pouvoir offrir les premiers, il faut qu’il commence par offrir les derniers, sans quoi il n’aura peut-être pas une volonté suffisamment forte pour offrir les croix qu’il lui faudra supporter !
Parmi les sacrifices volontaires, il en est bien sûr de nombreuses sortes, à commencer par les différentes œuvres de miséricorde. (Œuvres de miséricorde corporelle : donner à manger à ceux qui ont faim, donner à boire à ceux qui ont soif, vêtir ceux qui sont nus, abriter les étrangers, visiter les infirmes, visiter les prisonniers, ensevelir les morts. ‒ Œuvres de miséricorde spirituelle : conseiller ceux qui en ont besoin, instruire les ignorants, exhorter les pécheurs, consoler les affligés, pardonner les offenses, supporter patiemment les personnes ennuyeuses, prier pour les vivants et pour les morts.) (Voir lettre de liaison n°87)
Mais il y aussi les privations que nous pouvons nous imposer, privation dans les domaines de la nourriture ou de la boisson, mais aussi dans d’autres domaines comme le sommeil, les loisirs, etc. pour consacrer un peu plus de temps à la prière. On voit donc que, même s’il n’est pas formellement mentionné dans le message de Fatima, le jeûne y a toute sa place, ce que comprirent très bien les petits voyants qui donnaient leur déjeuner aux petits pauvres de Moita. Voici ce que raconte Lucie dans son premier mémoire.
Jacinthe prit tellement à cœur les sacrifices pour la conversion des pécheurs qu’elle ne laissait passer aucune occasion. Il y avait quelques enfants, fils de deux familles de Moita (petit hameau au nord de la Cova da Iria.), qui passaient de porte en porte à mendier. Nous les rencontrâmes un jour alors que nous allions avec notre troupeau. En les voyant, Jacinthe nous dit :
– Donnons notre goûter à ces pauvres enfants pour la conversion des pécheurs !
Elle courut le leur porter.
Dans l’après-midi, elle me dit qu’elle avait faim. Il y avait là quelques chênes-verts et des chênes. Les glands étaient encore assez verts. Malgré cela, je lui dis que nous pourrions en manger. François monta sur un chêne-vert pour remplir ses poches, mais Jacinthe eut l’idée que nous pourrions plutôt manger ceux des chênes pour faire le sacrifice de manger quelque chose d’amer. Et nous avons savouré cet après-midi-là une nourriture délicieuse !
Jacinthe prenait cela comme un de ses sacrifices habituels. Elle cueillait les glands des chênes ou les olives des oliviers. Je lui dis un jour :
– Jacinthe, ne mange pas cela, c’est trop amer.
– C’est parce que c’est amer que je le mange pour convertir les pécheurs.
Ce ne furent pas là nos seuls jeûnes. Nous avions décidé que, lorsque nous rencontrerions ces petits pauvres, nous leur donnerions notre goûter. Et les pauvres petits, contents de notre aumône, cherchaient à nous rencontrer et nous attendaient sur le chemin.
Dès que nous les apercevions, Jacinthe courait leur porter toutes nos provisions de la journée, avec une telle satisfaction, comme si elle n’en avait pas eu besoin elle-même. Ces jours-là, notre nourriture était : des pignons, des racines de campanules (c’est une petite fleur jaune qui possède à la racine une petite boule de la grosseur d’une olive), des mûres, des champignons et quelque chose que nous cueillions à la racine des pins, dont je ne me souviens plus le nom ; ou encore des fruits, s’il y en avait tout près sur une des propriétés qui appartenaient à nos parents.
Enfin, Jésus nous a enseigné (Matthieu XVII, 21) que certains démons ne sont vaincus que « par le jeûne et la prière ». Jésus Lui-même a fait 40 jours de jeûne et de prière avant de commencer son ministère public.
Peut-être certains se diront-ils : c’est trop dur ; je n’y arriverai pas ! Il est vrai que l’environnement dans lequel nous vivons ne nous pousse pas à nous mortifier ou à accepter les contrariétés. Ce serait même plutôt l’inverse. Il n’est donc pas étonnant que nous éprouvions des difficultés sur ce plan. C’est pourquoi il peut être utile de se faire aider. Le premier à pouvoir nous aider est notre ange gardien que Dieu a mis à notre côté dans ce but. Il y a aussi notre saint patron. Mais il y a une autre aide très puissante que nous pouvons demander : c’est celle des âmes du purgatoire. Si elles ne peuvent rien pour elles-mêmes, ces saintes âmes sont par contre très puissantes pour nous obtenir les grâces dont nous avons besoin. Alors prions pour elles et demandons-leur de nous aider à offrir des sacrifices pour la conversion des pécheurs, y compris pendant ce temps de vacances.
Pour cela, un moyen simple et efficace est de faire dire des messes pour elles. L’Église a toujours vivement encouragé la prière pour les âmes du purgatoire, en particulier le saint sacrifice de la messe. Parmi les nombreuses possibilités offertes, nous nous permettons de signaler une organisation qui vient d’être créée dans le but précisément de faire dire des messes (dans le rit traditionnel) pour les âmes du purgatoire et de les faire dire en priorité par des prêtres manquant d’offrandes de messe, ce qui est souvent le cas des prêtres attachés au rit traditionnel. Voici le lien pour parvenir au site de l’organisation : https://www.offrande-messe.org.
Offrir une messe représente déjà un petit sacrifice financier qui peut être offert pour la conversion des pécheurs tout en demandant aux âmes du purgatoire pour qui cette messe sera dite, d’intercéder auprès de Dieu pour qu’Il nous accorde les grâces nécessaires pour faire de notre salut, et plus particulièrement la grâce chaque jour d’offrir des sacrifices pour la conversion des pécheurs et de réciter le chapelet pour la paix dans le monde.
En union de prière dans le Cœur Immaculé de Marie.
Yves de Lassus
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